Vîrus n’en est encore qu’au début

Le 20 novembre 2015, Vîrus sortait son double EP « Faire-Part / Huis Clos ». Le rappeur normal – qui n’est pourtant pas un grand adepte des célébrations – a décidé de marquer le coup pour le premier anniversaire du projet. La partie se jouera au Loft Photo à Bruxelles, ce samedi 3 décembre. Un événement tourné autour de la thématique de l’enfermement, faisant l’alliance entre la musique de Vîrus et les photographies de Nora Noor (demandez le programme). Cette fin d’année est bel et bien synonyme de fin d’étérnation¹ pour le Buena Vista Sociopathe Clubber, puisqu’au mois de décembre, « Faire-Part / Huis Clos » fera sa deuxième sortie, accompagné d’un pack goodies signés Sean Hart. Oui, vous avez bien lu, un pack goodies dont nous avons eu la chance de voir un échantillon prometteur à Sous-Culture.

Le moment était donc bien trouvé pour publier la retranscription d’une conversation tenue avec Vîrus au mois de mai et plusieurs fois mise à jour depuis. L’enfermement, la liberté, la résignation, l’écriture, le présent et l’avenir sont les thèmes moteur de cette discussion qui fait suite à notre première rencontre en 2013. Vîrus continue de creuser le chemin de son épanouissement et donne l’impression, dans le rap comme dans la vie, d’en être encore au tout début.

Antoine Fasné

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